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Les larmes sont parfois
une réponse inappropriée à la mort. Quand une vie a été vécue
vraiment honnêtement,
vraiment avec succès,
ou simplement vraiment,
la meilleure réponse
à la ponctuation finale
de la mort est un sourire.
L’absence n’est-elle pas,
pour qui aime,
la plus certaine,
la plus efficace,
la plus vivace,
la plus indestructible,
la plus fidèle des présences.
Et si je pars, alors que tu es encore là… sache que je vivrai toujours,
vibrant sur un rythme différent derrière un voile pour toi opaque.
Tu ne pourras me voir, aussi tu dois garder la foi. J’attends l’heure où
nous pourrons à nouveau prendre notre essor mutuellement conscients l’un de l’autre. D’ici là, vis pleinement ta vie et si tu as besoin de moi,
tu n’auras qu’à murmurer
mon nom dans ton cœur…
Je serai là.
Rappelez-vous que lorsque
vous quitterez cette terre,
vous n’emporterez rien
de ce que vous avez reçu,
uniquement ce que
vous avez donné.
Qu’on ne peut ni fermer
Ni rouvrir à son choix.
Le passage attachant
Ne s’y lit pas deux fois,
Mais le feuillet fatal
Se tourne de lui-même.
On voudrait revenir
À la page ou l’on aime,
Et la page ou l’on meurt
Est déjà sous nos doigts.
Marchons la vie pas à pas,
ni trop vite, ni trop lent.
Savourons chaque instant,
vivons chaque moment.
Rien n’est plus beau
que le présent.
Ne regardons pas derrière,
regardons devant,
la tête haute et fière,
sourions à la vie,
elle nous tend les bras.
Réalisons nos rêves
et parlons d’amour.
Il faut profiter
de chaque instant.
La vie nous est prêtée,
on ne sait pas
pour combien de temps.
Si toute vie va
inévitablement vers sa fin,
nous devons durant la nôtre,
la colorier avec nos couleurs
d’amour et d’espoir.
Nous avons écrit ton nom
dans le sable, mais la vague l’a effacé. Nous avons gravé ton nom
sur un arbre, mais l’écorce est tombée. Nous avons incrusté ton nom
dans le marbre mais la pierre a cassé. Nous avons enfoui ton nom
dans nos cœurs, et le temps l’a gardé.
Personne ne sait encore
si tout ne vit que pour mourir ou
ne meurt que pour renaître.
Un grand nombre d’années
l’avaient réduit et poli
comme les eaux font une pierre
et les générations une maxime.
Que la tristesse
et les moments sombres
fassent bientôt place
à des pensées plus apaisantes
afin que le souvenir de l’être cher
devienne une source
de paix et de réconfort.
La vie est un courant d’eau
qui naît dans un lac,
grandit dans une rivière,
vieillit dans un fleuve,
et meurt en s’échouant sur les rives.
Le livre de la vie
Est le livre suprême.
Ce que je trouve de beau
dans le destin humain
malgré son apparente cruauté,
c’est que, pour moi mourir,
ce n’est pas finir,
c’est continuer autrement.
Un être humain qui s’éteint,
ce n’est pas un mortel qui finit,
c’est un immortel qui commence.
La tombe est un berceau
et le dernier soir de notre vie
est le premier matin de notre éternité. La mort n’est pas
une chute dans le noir,
c’est une montée dans la lumière. Mourir au fond,
c’est aussi beau que naître.
Les étoiles ne sont
peut-être pas des étoiles,
mais plutôt des ouvertures
dans le ciel d’où l’amour
de nos disparus
se déverse et nous illumine
pour nous faire savoir
qu’ils sont heureux.
Je suis debout
au bord de la plage
Un voilier passe
dans la brise du matin
Et part vers l’océan,
Il est la beauté… il est la vie…
Je le regarde jusqu’à ce qu’il
Disparaisse à l’horizon
Quelqu’un, à mon côté, dit:
« Il est parti » Parti? Vers où?
Parti de mon regard c’est tout!
Son mât est toujours aussi haut,
Sa coque a toujours la force
De porter sa charge humaine
Sa disparition totale de ma vue
Est en moi, pas en lui…
Et juste au moment où quelqu’un
Près de moi, dit : « il est parti »
Il en est d’autres qui, le voyant
Poindre à l’horizon et venir vers eux,
S’exclament avec joie : « le voilà »
C’est cela la mort.
Il est toujours pénible de
Devoir se séparer d’un être cher.
Mais sachez accepter
cette séparation avec foi et confiance,
en pensant aux choses merveilleuses
qu’il me sera donné de connaître
dans cette nouvelle vie.
Je ne vous dis pas adieu,
Mais au revoir.
Pensez à moi sans tristesse
Et attendez avec confiance le
Moment où vous me rejoindrez.
Son caractère droit
Et la bonté de son cœur
Lui gagnaient l’affection
De tous ceux qui l’entouraient.
Elle était aimée de tous
Et ceux qui l’ont connue,
L’ont honorée de leur estime
Pendant sa vie et
L’accompagnèrent de leurs regrets
Après sa mort.
Son départ
A laissé dans nos cœurs,
Une plaie profonde.
Souvenez-vous d’elle,
Parents et amis.
Le deuil est
Une expérience puissante.
Mais votre capacité
De guérir l’est aussi.
En déployant de grands efforts
Pour surmonter votre chagrin,
Vous donnez progressivement
Un nouveau sens
Et un nouveau but à votre vie.
La séparation fut pénible
Et je connais votre peine ;
Mais il faut retrouver la paix.
Rendons plutôt grâces
Pour ces merveilleuses années
Que nous avons passées ensemble
Et pour tout l’amour
Que nous avons partagé.
Aimez de toutes vos forces,
Pour faire disparaître
La souffrance entre les hommes.
Il faut aimer la vie
Et en apprécier chaque moment
Car un jour la mort nous ravit
Et nous emmène vers
D’autres horizons.
Cet être qui est parti avait vécu auprès de nous une foule de moments
Doux qu’il emporte avec lui
Dans sa nouvelle maison.
Le temps atténuera notre douleur
Et les beaux moments,
À jamais gravés dans notre cœur,
Seront pour nous source
De réconfort.
Mon dieu, donnez-moi
La SÉRÉNITÉ
D’accepter les choses
Que je ne puis changer,
Le COURAGE
De changer les choses que je peux
Et la SAGESSE
D’en connaître la différence.
Voici la fin de mes souffrances
Et le repos pour mon corps;
Voici venir la récompense
Par Dieu promise à mes efforts.
Je vais là-bas parmi les anges,
En oubliant mes vieux soucis,
Passer mon temps à sa louange,
Dire à Jésus sans fin merci.
Je vous salue Marie
Pleine de grâces ;
Le Seigneur est avec vous,
Vous êtes bénie entre toutes
Les femmes, et Jésus, le fruit
De vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu
Priez pour nous, pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen!
Consolez-vous chers enfants
Par la pensée qu’un jour viendra où
Toute la famille se réunira au Ciel.
N’oubliez pas que vos parents
Sont près de vous, disponibles
À vos prières, prêts à vous aider.
Ce n’est pas de mourir dont il faut
Se préoccuper mais de bien vivre.
Chers enfants, ne nous oubliez pas,
Restez unis entre vous.
Notre Père qui es aux cieux,
Que ton nom soit sanctifié,
Que ton règne vienne,
Que ta volonté soit faite
Sur la terre comme au Ciel.
Donne-nous aujourd’hui
Notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses
Comme nous pardonnons aussi
À ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous soumets pas
À la tentation,
Mais délivre-nous du mal.
L’ARDEUR
qu’elle a démontrée
dans son travail,
LA VOLONTÉ
Qu’elle a mise dans tout
Ce qu’elle entreprenait et
LE TEMPS
Disposé au service des siens,
Lui ont valu une mort
Douce et sereine.
Elle a toujours souri ;
La joie et le bonheur
Qui se dégageaient d’elle
Nous rappellent sans cesse
Son grand amour de la vie.
Seigneur, donne-lui ton repos.
La Mort
Ne m’a pas laissé le temps
De vous dire adieu.
Du haut du Ciel,
Cher époux
Et t enfants bien-aimés,
Je vous suis pas à pas,
Restez unis entre vous,
Ne m’oubliez jamais.
Seigneur, vous savez combien
Je désirais être auprès des miens,
Pour leur faire du bien;
Puisque vous m’avez
Rappelée à vous, Seigneur,
Prenez ma place auprès d’eux,
Soyez leur ami et leur consolateur.
Dieu a vu que tu te fatiguais
Lorsque la guérison ne venait pas.
Alors, Il t’a prise dans ses bras
Et t’a dit doucement :
« Viens avec moi. »
Tu n’as pas mérité ce que tu endurais.
Alors, Il t’a donné le repos.
Les jardins du Seigneur
Sont si beaux.
Et lorsque l’on t’a vue dormir
Si paisiblement
Et libre de toute douleur,
Nous ne pouvions plus
Désirer ton retour
Pour souffrir à nouveau.
Repose en paix, maman.
Ne pleurez pas, je vais à Dieu,
Je vais vous attendre au Ciel ;
Là où la famille se reformera
Et les larmes seront séchées.
Réjouissez-vous avec moi
De ce que je quitte
Cette terre de peines
Pour aller au séjour de la paix.
Consolez-vous,
Tournez vos regards vers le ciel
Et lorsque vous viendrez
Chercher votre récompense,
Je serai à votre rencontre,
Suppliant Dieu à mon tour,
De vous ouvrir la Céleste Patrie.
La mort nous a séparés,
Le souvenir et la prière
Doivent nous unir.
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